Résidences et coproductions

Résidences
« Je veux m’attacher à des portraits du masculin et travailler la singularité, le corps comme rempart. Forteresse et vulnérabilité. Que laisse-t-on voir et jusqu’où ? Sonder la différence et l’intime en invitant des cultures de différents continents à se dire. »
Pièce pour 5 interprètes de Marlène Rubinelli Giordano
Résidence du 26 au 30 août 2024 | Création 2025
« Des objets qui tournent, roulent, circulent, volent, tombent et sonnent. D’un point de vue dramaturgique, la rupture est un outil puissant. Ce qui m‘intéresse, c’est la surprise, l‘inattendu et le jeu avec ces paramètres. Ainsi, une rupture ouvre toujours une porte, ce qui soulève la question : Et maintenant quoi ? »
Un solo de et avec Julian Vogel.
Résidence du 2 au 13 septembre 2024
Création le 2 octobre 2024 aux SUBS
Que nous racontent ces mots d’Antoine Lavoisier – physicien du 18e siècle – de notre époque post-moderniste, là où la course à l’innovation ne rivalise qu’avec la capacité humaine à déconstruire ses propres appuis ? Comment trouvons-nous l’équilibre dans ce mouvement de construction et déconstruction constante ? Comment l’observons-nous ? Comment faisons-nous partie de ce mouvement ?
La conservation de la masse – est un projet de cirque visuel, poétique et participatif :
– un solo pour une circassienne
– une scénographie en mouvement
– 1000 mètres de corde
– 200 participants
En résidence au théâtre du 10 au 14 février 2025
Sortie de résidence le 13 février à 18h
Création 2025 – 2026
Coproductions
Adapté d’une pièce écrite en 1765 par le dramaturge vénitien Carlo Gozzi, L’Oiseau vert mis en scène par Agnès Régolo rappelle que l’être humain est capable du pire avant le meilleur. Il a le plumage d’un conte de fée et le ramage d’un bec acéré. L’Oiseau vert d’Agnès Régolo raconte, à tire-d’aile, l’épopée tragi-comique de Renzo et Barbarina. Abandonnés à la naissance, les jumeaux, en quête d’identité, se découvrent un beau-père indigne, un père neurasthénique et une mère enterrée vive par une grand-mère perfide. Réussiront-ils à trouver un peu d’humanité dans toute cette noirceur ? La pièce navigue dans un univers fabuleux et hors du temps, portée par huit interprètes facétieux et une musique originale pop-rock qui en révèle toute la modernité.
Jeudi 6 février – 20h – Durée : 1h – À partir de 12 ans
En savoir +
Production La Compagnie du Jour au Lendemain
Coproductions Théâtre Durance – scène nationale | Les Théâtres – Théâtre du Jeu de Paume | Théâtre national de Nice | Scènes et Cinés
Soutiens DRAC PACA | Département des Bouches-du-Rhône | Fonds d’aide à la création artistique pour le spectacle vivant | Ville d’Aix-en-Provence | Région SUD PACA | Ville de Marseille | le Pôle Arts de la Scène | Friche La Belle de Mai
Résidences Théâtre du Jeu de Paume – Aix-en-Provence | L’Atelier – Arsud | Domaine Départemental de l’Étang des Aulnes
Histoires naturelles. C’est un jardin dans lequel cohabitent des passereaux, des pics, des rapaces nocturnes, des végétaux, des histoires intimes et des chants du monde. Après Pister les créatures fabuleuses, Pauline Ringeade tisse à nouveau le rationnel et l’imaginaire pour explorer les relations que nous, humains, entretenons avec les autres sphères du vivant. Une immersion inédite dans un jardin-monde partagé.
Mise en scène, direction artistique : Pauline Ringeade
Jeu, composition : Claire Rappin
Photo : Laetitia Picarretta
Création mardi 19 avril 2024 au Théâtre de La Manufacture, CDN de Nancy
« Je veux m’attacher à des portraits du masculin et travailler la singularité, le corps comme rempart. Forteresse et vulnérabilité. Que laisse-t-on voir et jusqu’où ? Sonder la différence et l’intime en invitant des cultures de différents continents à se dire.
Pièce pour 5 interprètes de Marlène Rubinelli Giordano
Résidence du 26 au 30 août 2024 – Création 2025
Des objets qui tournent, roulent, circulent, volent, tombent et sonnent. D‘un point de vue dramaturgique, la rupture est un outil puissant. « Ce qui m‘intéresse, c‘est la surprise, l‘inattendu et le jeu avec ces paramètres. Ainsi, une rupture ouvre toujours une porte, ce qui soulève la question : Et maintenant quoi ? »
Un solo de et avec Julian Vogel.
Création le 2 octobre 2024 aux Subsistances
No reality now est une expérience qui allie danse et réalité virtuelle. Elle nous invite dans un au-delà – inaccessible, insondable, inintelligible, comme la mort qu’elle s’aventure à mettre en scène. Trois personnages ( La mort, la Défunte et la chamane) investissent le plateau scénique et un plateau virtuel. Dans les gradins, les spectateurs sont équipés d’un casque de réalité virtuelle muni d’une poignée, qu’ils peuvent enlever et remettre à loisirs. Ainsi ils alternent comme ils le souhaitent entre un monde virtuel et monde réel. No reality now est une adaptation de la pièce chorégraphique Souffles créée en 2010 par Vincent Dupont. No reality now incarne une nouvelle génération de spectacles hybrides reposant sur une solution de scène augmentée ( soutenu par France 2030 au titre du PIA 4)
Création lors de Biennale de la Danse de Lyon au TNG en septembre 2023
Des objets qui tournent, roulent, circulent, volent, tombent et sonnent. D‘un point de vue dramaturgique, la rupture est un outil puissant. « Ce qui m‘intéresse, c‘est la surprise, l‘inattendu et le jeu avec ces paramètres. Ainsi, une rupture ouvre toujours une porte, ce qui soulève la question : Et maintenant quoi ? »
FERFEU, un solo de et avec Julian Vogel est l’ultime volet de la trilogie TRILOKIA créée en mai 2024.
La trilogie est programmée du 23 au 26 janvier 2025 à l’étang des Aulnes.
Création en mai 2024 au Le Sirque – Pôle National Cirque à Nexon
Retrouvez TRILOKIA du 23 au 26 janvier 2025 au domaine de l’étang des Aulnes.
Le projet chorégraphique de Josef Nadj réunit la même équipe, afin de poursuivre, d’élargir, d’approfondir encore, l’exploration engagée avec Omma. L’ambition est de développer une nouvelle proposition artistique originale, inédite. La lune du titre fait référence au cosmos, à la formation de l’univers, à cette histoire qui anticipe et fonde les origines de l’humanité. Associée au renouvellement, à la transformation, avec son cycle de 28 jours et ses quatre phases, elle pourrait apporter aussi à la pièce une sorte de structure rythmique, une grille de composition.
Full Moon créé en juin 2024 à Montpellier Danse est à retrouver en ouverture de la saison 2024/2025, le 27 septembre au Théâtre antique d’Arles